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CELINE : UN TRISTE SALAUD !

 

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Louis-Ferdinand Destouche, Céline en littérature, 1894 - 1961 - publie en 1932 Le Voyage au bout de la nuit qui, immédiatement devient le livre de chevet du ban et de l'arrière ban anarchiste et pacifiste. Il faut dire que ce roman mal construit et écrit dans un français assez lâche, a tout pour plaire aux rescapée de 1914-1918, il est fait pour cela, c'est un thriller avant la lettre, écrit pour plaire. Son second roman, Mort à Crédit, ne connaît pas le même succès. Avant et pendant la guerre ce fils de boutiquier se laisse aller à ses rancœurs profondes, celles de cette classe pourrie qui sera le pivot de la collaboration et du marché noir avant d'applaudir à la tonte des femmes ayant eu des relations avec "l'occupant" : les petits commerçants. Il attaque le communisme ce qui peut se concevoir et qu'on ne saurait lui reprocher, mais pour lui le mal est dans l'ouvrier qui est un fainéant, il n'a pas dû souvent se lever à six heures du matin pour aller travailler de l'autre coté de Paris et construire sa maison le soir en rentrant chez lui, des individus traitant ainsi les ouvriers dont ils vivent comme des paysans, me dégoûtent profondément. Ensuite il se laisse aller à un antisémitisme primaire, grossier et criminel, dans trois pamphlets dont Les beaux draps, publié en 1941, en pleine guerre alors que les Allemands mettent en place leur abomination et que Vichy, la très catholique, les précède dans l'horreur. Ce sont des appels au meurtre dans lesquels il ira jusqu'à dire qu'il se défie d'Hitler qu'il juge incapable de "finir le travail". Mythomane et fricard, l'écrivain persécuteur se pose en victime, pose qu'il adoptera définitivement après la guerre au milieu de ses mensonges.

Avec les pamphlets naît ce qu'il appelle "la petite musique", un style d'écriture qui s'appuie sur une langue brisée, reprenant les fameux trois points d'exclamation chers aux symbolistes - également grands amateurs de charabias - mais dans une autre pensée. Peu d'amateurs de Céline ont lu ces pamphlets ce qui ne les empêchent pas de répéter comme des idiots les slogans éculés des fanatiques de l'écrivain fou, souvent anciens maoïstes (On ne se refait jamais tout à fait !). "Céline n'a pas collaboré". Non, il a tout simplement participé à des expositions antijuives et publié dans la sinistre collection "Les Juifs en France" des Montandon, Rebatet et consorts, soutenant les persécutions et appelant à l'extermination qu'il ne pouvait ignorer.

Aujourd'hui tout ce qu'il y a en France de racistes, d'antisémites forcenés, de réactionnaires et de néo-nazis, proclame Céline "grand écrivain". Ces gens qui sont le plus souvent totalement étrangers à la littérature et dont les gros bataillons n'ont lu que le Voyage, parlent de révolution du langage (ultérieure au Voyage dans l'œuvre) et condamnent unanimement le reste d'une littérature qu'ils ne connaissent pas et dont ils feraient bien des autodafés à l'image de leurs maîtres nazis. Certains crétins plus ou moins pédophiles avaient même envisagé de le proclamer sous le règne de l'Apprenti Fasciste, écrivain de la République pour commémorer le centenaire ou cinquantenaire d''on ne veut pas savoir quoi ! Commémoration rentrée devant la levée de boucliers des gens qui savent encore lire, mais qui permettra à quelques odieux personnages de se poser en victime des ... morts de la Shoah !

Céline restera selon le mot de Malraux, "un pauvre type", gourou post-mortem des antisémites et maître en palinodies. Il passa, après guerre, le reste de sa vie à se plaindre des persécutions imaginaires dont il aurait été l'objet. C'est le persécuteur qui se fait victime pour faire oublier ses œuvres. "On avait mélangé et détruit ses papiers", il avait seulement, lui, prêcher à des assassins le meurtre de huit millions de personnes ! Que valent les papiers d'un fou face à cela qu'il avait souhaité et encouragé ! Les lecteurs du Voyage qui se laissent prendre aux bons sentiments d'occasion de l'auteur, flattés dans leurs opinions, ne perçoivent en général pas la vision basse et morbide de l'homme de l'auteur, qui annonce assez bien les horreurs à venir, ils se sentent heureux d'y trouver leur poids de viande selon l'expression de certains, tant pis si la viande pue, ils ont le nez bouché ! Il faut dire que les milieux anarchistes et d'extrême gauche de l'avant et de l'après guerre, fricotaient souvent avec l'antisémitisme point sur lequel ils se trouvaient souvent à l'unisson avec l'extrême droite, les milieux anarchistes ne furent pas dreyfusistes bien au contraire ! Ils voulaient bien la paix mais elle n'était pas bonne pour les Juifs, qu'ils accusaient de préparer la guerre ! Comme si Poincaré, Delcassé, et autres va-t-en-guerre sans la préparer, ou les Hitler et consorts pour la seconde guerre étaient Juifs !

Beaucoup de ses amateurs prétendent aujourd'hui que Céline n'a pas collaboré. Cela est vrai si soutenir Hitler, dénoncer des Juifs, appeler à l'extermination des sémites, n'est pas collaborer ! Céline était un collaborateur de la race la plus vile, celle qui partageait les saloperies de l'occupant et qui estimait qu'il n'en faisait pas assez ! Collaboration "intellectuelle" - si l'on peut appeler ainsi le monceau de saloperies de Céline - la pire !

Les pamphlets enfin réédités : Une belle édition "critique" de ces écrits immondes. On ne pourra plus nous opposer avec la plus mauvaise foi le fameux "Ils sont anodins et vous ne les avez même pas lus !" Ces textes sont au cœur de l'œuvre, ils l'éclairent et l'arrosent de leur basse saloperie, saloperie qui parcourt tous les écrits de Céline. Ajoutons que cette édition est canadienne, interdite en France où les droits d'auteurs ne sont pas encore prescrits - ils le sont au Canada - et où existe un droit moral (une plaisanterie quand il s'agit d'un tel salaud !) Les pamphlets devraient être réédités uniquement en vente par correspondance auprès d'une institution comme la Bibliothèque Nationale, en passant outre aux palinodies des héritiers qui n'ont aucun droit de la ramener s'agissant de ces textes crapuleux.

 

 

Quatrième page de couverture du pamphlet Les beaux draps. "Dis moi qui tu fréquentes ..."

Montandon ( mon bon ami !), Rebatet, Querilloux, Céline ... " une collection d'intérêt national "

"En vente dans toutes les bonnes librairies !"  Un second degré un peu lourd !

LE VOYAGE et le reste ...

De nombreux admirateurs de Céline ne sont en fait que des lecteurs du Voyage, ils restent sur ce roman, fortement impressionnés, gardant de l'auteur l'image d'une sorte d'anarchiste qui dénonce la guerre, le colonialisme, la grande industrie, bref un régal ! D'autres, ceux qui admirent le style de Céline, vont bien entendu à ses écrits postérieurs dont les pamphlets, écrits dans un style très personnel à l'auteur, dont je dirais pour le résumer qu'il consiste en un langage cassé dans lequel les mots prennent souvent d'étranges pour ne pas dire suspectes résonances. Ce style qui fait l'admiration de certains est mis au service d'idées tout à fait nauséabondes dont je parle plus haut, si je peux goûter quelques unes de ses envolées quand elles n'ont pas un caractère immonde, dans l'ensemble je lui reproche de casser la communication plutôt que de tenter de l'améliorer, ce style est fait pour manipuler, pour convaincre par la sensation et l'émotion plus que par le raisonnement qui lui est étranger. Les premiers admirateurs de Céline, ceux du Voyage, reprennent souvent la litanie - initiée par l'auteur lui même, on n'est jamais mieux servi que par soi même - du style remarquable sans s'imaginer que ce n'est pas pour ce livre écrit de façon plutôt médiocre et qui n'est remarquable que par son contenu que les seconds louent le bon docteur. Ils ne voient pas ces admirateurs du Voyage, ces pseudos anarchistes que l'auteur n'a écrit avec ce livre qu'une sorte de thriller, qu'un livre pour plaire flairant l'air du temps et que la philosophie qui chemine dessous est déjà celle de ses idées odieuse qu'il développera par la suite. Aveuglé par l'homme qu'il était, l'auteur déteste l'homme, cela est bien normal, c'est sa seule lucidité. Le Juif, responsable selon lui de tous les maux devient dès lors le bouc émissaire, l'universel responsable, on est avec le Céline des pamphlets de plein pied dans le monde des nazis exterminateurs, il faut le détruire par tous les moyens et il ira jusqu'à regretter le laxisme de Hitler en la matière ce qui est tout à fait horrible. Un exemple frappant de la duplicité du Voyage tient dans l'apitoiement de Céline sur la condition des noirs d'Afrique victime du colonialisme, il suffit de lire ce qu'il dit des mêmes noirs dans ces fameux pamphlets et dans d'autres livres écrits après la guerre pour se rendre compte qu'il ne fait état à ce moment que de sentiment qui paient.

Jusqu'à ce jour j'avais renoncé à mettre sur ce site une page de citations de Céline, je m'étais limité à trois exemples. Mais j'en ai vraiment marre d'être pris pour un imbécile par des gens qui se pâment non seulement devant l'auteur, mais encore qui prétendent que ces pamphlets que les ayants droit ont si peur de laisser rééditer - on comprend pour quelles raisons - recèlent des trésors et ne sont pas si antisémites que cela et pas seulement antisémites (pour cette dernière affirmation, ils ont raison, la haine de l'immonde se portait également sur "l'ouvrier fainéant par nature, le nègre qui n'est qu'un Juif", le franc maçon et bien d'autres ...!) Car le pauvre Ferdinand relevait tout simplement de la médecine psychiatrique !

 

BREVIAIRE DE LA HAINE dite GENIALE

ou de la saloperie extraordinaire

 

Les citations qui suivent ne sont pas de loin les plus odieuses. Elles ont été choisi au hasard, chaque livre ayant été ouvert deux fois, j'ai sélectionné dans les pages qui se sont présentées les phrases que je donne ici.

Si une association de défense des libertés, de lutte contre l'antisémitisme et le racisme, la LICRA ou un autre organisme de ce genre me demandent de les retirer, je le ferais. Mais je suis persuadé qu'il faut tout faire pour que le grand public comprenne quel plat malade célèbrent une bordée d'intellectuels dont on ne sait trop ce qu'ils veulent ou ce qu'ils cherchent.

Les beaux draps

" Le Bourgeois, lui, il s'en fout, ce qu'il veut c'est garder son pognon, ses " Royal Dutch ", ses privilèges, sa situation, et la Loge où il se fait de si belles relations, celles qui vous relient au Ministère. En définitive il est juif puisque c'est le juif qu'a les ors, qu'a la plus beau veau dans son temple. C'est des choses qui se discutent même pas !... qui vont d'elles mêmes une fois pour toutes !... Et peutt ! peut !... ..... il file le youtre train comme il peut. Ben Pourceaugnac." p70

" Plus con que le Français ? Vraiment n'est-ce pas c'est impossible ? Et surtout l'intellectuel ? Littéralement enragé dès qu'il s'agit de déconner dans le sens juif. Un snob masochiste. Et y a pas de race ! Et y a pas de juif ! Et moi par-ci ! Je sais ceci ! Et peutt-puetti ! ..." p124

L'école des cadavres

"Encore un truculent spectacle à ne louper à aucun prix. Le départ du " Normandie " de New-York. " Normandie " ! triomphe de nos contributions, le plus crâneur de nos déficits. Sur trois mille passagers au moins 2500 Juifs. A nous Aryens " assujettis " du génie français tout le déficit ! On est des gaillards prestigieux, des vicieux de la folle ceinture. Aux rats juifs du monde entier les prélassements inédits, les vogues les plus exorbitantes, le caviar à la louche de nos centimes additionnels. C'est plus de la passion c'est de la vraie furie youtrisme pour grimper, grouiller sur ce bord ..." p 70

" Ce sont les pervers qui rendent la vie insupportable. Ils trouvent des intentions partout. Moi, je me sens devenir si pervers que ça me tourne en folie raciste. Et pas qu'un petit peu ! Raciste 100 pour 100 ! autant que communiste, sans les Juifs !"

même page : " Je ressens, tellement je suis drôle, des choses encore bien plus perverses. Des véritables sadismes. Je me sens très ami d'Hitler, très ami de tous les Allemands, je trouve que ce sont des frères, qu'ils ont bien raison d'être racistes. Ca me ferait énormément de peine si jamais ils étaient battus. Je trouve que nos véritables ennemis c'est les Juifs et les francs-maçons. ..." p 198.

Bagatelles pour un massacre

" Parcourez un peu ces listes des grands amis de l'U.R.S.S. Tous ou à peu près tous fonctionnaires, politiciens, rentés, retraités juifs ou francs-maçons ... Et comment !... Tous amplement appointés, je dirais même parfaitement opulents, une centaine de damnés absolument douillets, effrontément, grassement parasitaires, une moyenne de 100.000 fr annuels chacun ... ( francs Blum ). Parasites des supers-Etats ! Unissez-vous ! Rassurez-vous autour des Grands Juifs !" p 141

Je renonce à continuer et j'abandonne la seconde citation, je viens d'ouvrir à la page 266, même délire, page 221, pseudo citation talmudique ..., et l'on parle de merde, " de bonne merde juive ... "

Décourageant !

Les trois pamphlets c'est 290 pages petit format pour Les beaux draps, 305 pages grand format pour L'école des cadavres et 380 pour Bagatelles pour un massacre, toutes ou presque de ce tonneau. Plus de 900 pages de plate littérature, d'insultes grotesques, de délires. Fera-t-on chez Gallimard un Pléiade supplémentaire avec cela ? Ne suffit-il pas d'avoir placé la célèbre collection au rang de celle qui publia les Beaux Draps* en 1941 en y faisant entrer un de ses auteurs ? Je vois le bandeau ou les encarts publicitaires : " Enfin, une œuvre publiée dans Les Juifs en France !" Répugnant, non ?

Céline c'est cela. C'est cela que l'on compare à Rabelais, que l'on présente comme le grand style, la petite musique unique ! C'est de cela qu'on veut faire le phare de la littérature française, pas étonnant dès lors qu'elle soit en perte de vitesse " supersonique " dans le monde !

Franchement tous ces petits débats d'universitaires autour du Grant'écrivain comment faut-il les prendre ? Ces associations céliniennes que peuvent-elles être ? Y lit-on de tels extraits dans des soirées festives avec un déclamateur de bottin (Luchini) ? Y arborent-on des croix gammées pour commémorer la grande admiration de l'auteur ?

Excusez-moi, il faut que je me souvienne que je ne suis qu'un autodidacte, qu'à ce titre je " manque de recul ", façon polie qu'ont certains de vous dire que sans papier timbré de l'Institution, vous êtes un peu con, pourquoi " un peu "? Beaucoup, oui ! Ne sommes-nous pas à l'époque des " écoles d'écrivains " où l'on est censé apprendre contre deniers sonnants et trébuchants à devenir romancier ou diariste ? Elles délivreront bientôt des CAP et des Brevets d'écriture d'état ! De plus, je suis fils d'ouvrier, donc, pour ces gens, de fainéant et donc fainéant moi-même même si j'ai travailler plus que les Sollers er consorts ne peuvent même l'imaginer ! En clair pour parler de Céline ... du recul bondieu ! Le recul qui vous permet de découvrir la petite musique dans " youtre " et " youtrisime " peut-être ? Désolé, je n'y entends que la musique funèbre de ceux qui sont morts assassinés d'abord par les mots des Papes, des Drumont ou autres Barrès de l'affaire Dreyfus, des Céline, Béhaine et de la longue litanie des salauds ! Dans cette corporation des aboyeurs de la mort exterminatrice notre " grant'écrivain " se taille la place du lion à une époque "charnière "!

Admirez donc vous qui avez appris sur les bancs de l'Université à renifler la merde ! Il y a des jours où je me demande dans quel monde je vis, quel délire porte certains ! Quelle musique entendent ces gens ? Quelles immondes ragoûts il faut pour, enfin, leur couper l'appétit ?

Comment s'étonner après des propos révisionnistes ? De la saloperie de l'Extrême droite dont l'humanité est brillamment défendue par le très chiraquien Denis Tillinac ! Ce n'est pas moi qui nie l'humanité de Le Pen, c'est lui qui se place en dehors de l'humain avec ses références assumées aux pires crimes, avec ses éditions de musique nazie, "purement commerciales" - les salauds n'ont même pas l'estomac d'assurer leur saloperie, tout comme Céline, pauvre victime !

Quand, un jour, je suis un peu agacé de ce que l'on met dans les jeunes cerveaux, car n'oublions pas que la mémoire, c'est aussi la salissure définitive de l'image de l'homme parce que l'homme a pu faire cela, parce qu'aujourd'hui il peut encore admirer ces cris de haine sachant de quel prix ils ont été payés ! je comprends que nous n'avons pas le choix, nous ne pouvons pas épargner aux jeunes générations la mémoire de l'horreur quand l'horreur rôde encore dans nos murs. Nous l'avons subie, nous la subissons, " sans recul ",  prenant les paquets de boue en pleine gueule, et c'est comme une petite mort après la grande des victimes, et nos enfants vont la subir, les cafards qui précèdent toujours les bourreaux en s'en lavant les mains par avance et avant de les accompagner et de les encourager : " non, je ne veux pas de camps de concentration !" - mais les camps sont déjà là ! imbéciles !

Que, quelque part, il y ait sous quelque forme que ce soit, y compris celle de la soit disant " petite musique ", des gens pour défendre ce courant criminel, lâche, d'une médiocrité consternante, souligne qu'il faut encore et encore se battre, que la bête est là qui rôde, toujours prête à mordre, à tuer. Ce peuple de petits bourgeois égarés qui se réfugient dans la haine et sa pseudo élite qui se ramasse dans les poubelles de l'histoire, celles qui alimentent le club de l'horloge de quelle heure bon dieu ! - énarques néo-nazis ayant infiltré et noyauté les gouvernements de droite, - nous en sommes certainement responsables, nous savons que c'est ce qui fait la peste brune, les chercheurs de responsables universels et éternels, et c'est ce qui me fait haïr une société qui se dit libérale et qui, vivant sur la misère des autres, fabrique avec les exclusions les crimes de demain.

Je sais que la fortune du monde n'est pas juive comme le disait l'autre imbécile, mais qu'elle est internationale, presque toujours " libérale " et crapuleuse, toujours crapuleuse même quand les tribunaux, ces grands aveugles manchots, (ils n'ont conservé que le bras, très musclé celui-là, qui frappe sur les faibles) n'y trouvent rien à dire !

 

 

Je ne peux clore cette page sans donner un échantillon de la critique littéraire vue par un célinien de base (c'est le moins que l'on puisse dire) Ce monsieur Reinhard Heydrich, est un grand littéraire ! Quand on lit cela sous la plume d'un admirateur d'écrivain, comment s'étonner des crimes et horreurs de certains sectateurs de Mahomet ?

" je me suis retrouvé sur votre site internet par hasard, et qu elle ne fut ma surprise de voir ce que vous dites sur Mr Louis Ferdinand Céline!!!!!! d où sortez vous ? avez vous fait de la prison, du frigo ou quoi? comment pouvez vous et de quel droit vous permettez vous d injurier un auteur comme Céline, le plus Incomparables des auteurs du XX ème siècle!!! vous n'êtes qu'un INCULTE, un petit bonhomme, un refoulé de toutes sortes!!!!!! avec vos critiques qui ne font certainement rire que vous et les vôtres de franchouillards!!!!!! Vous êtes encore plus odieux que quiconque du fait de votre inintelligence qui n ' a d égale que votre incompétence de pseudo critique  litteraire!!!! adieu bouffon!  retournez lire des bandes dessinées qui sont certainement de vos aptitudes"

Analyse intéressante, mesurée, digne d'un grand écrivain français. On a les admirateurs que l'on mérite ! A coté des approbations, j'ai reçu quelques message de cette hauteur d'esprit ... enfin supposée d'esprit !

31 janvier 2005

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